Numéro 31

Sommaire

BOMPARD Michel
L’octroi en France et à Nyons
Cette étude en 2 volets nous octroie généreusement d’une part les principes généraux de l’établissement de ce « droit levé sur certaines denrées à leur entrée dans une ville », et d’autre part les détails de l’application de ces droits à Nyons du début du XIVe siècle jusqu’en 1942.

ARDOUIN-DUMAZET
Voyage à travers le Nyonsais
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Nyons et ses environs juste avant l’ouverture de la ligne de chemin de fer : les oliviers, les truffes, la vieille ville, le Pontias, les perspectives touristiques. Le coup d’œil du spécialiste.

Un jour à Nyons (Le Pontias du 11 février 1866)
Nyons 1866 : le point de vue d’un touriste dilettante qui croque dans un style vif les petites rues et Notre Dame de Bon Secours.

MEGE Jean-Claude
Récente découverte archéologique à Sainte-Jalle
Mise à jour de sept stèles gallo-romaines lors de travaux contre le mur nord de l’ église de Notre-Dame de Beauvert (classée monument historique). Ces autels qui mentionnent les déesses du « Pagus Baginensis » semblent dater de la fin du IIe ou début du IIIe siècle de notre ère. Cet article est accompagné de trois pages de croquis détaillés et d’une bibliographie.

Pierre ROULLET et Jean DELHOMME
Les confitureries à Nyons
« La confiture, ça dégouline… ».Nous avons toujours notre pain, mais, plus de confiture nyonsaise depuis les années 1990. Créées peu après la 1ère guerre mondiale, ces deux entreprises locales ont employé jusqu’à 200 personnes et fourni le quart de la production française de confiture et pâte de fruits dans les années 1950 à 1970.

LAGET Jean
Histoires de fausses monnaie
Qui dit « monnaie », dit presque obligatoirement « fausse monnaie » : en 1460 à Montbrison-sur-Lez ou au début du XIXe aux Pilles. Quant aux pinatelles frappées en 1592 par l’atelier monétaire temporaire de Nyons, émises au su de tous, peut-on les assimiler à de la fausse monnaie ?

BŒUF Michel (colonel)
La Légion d’Honneur
Historique, organisation et administration de cet ordre dont Maurice DRUON disait : « cette décoration à laquelle tant de gloire est attachée, réussit la synthèse entre les temps anciens et les temps modernes. Au centre de la croix, le visage change avec les régimes, mais le symbole reste entier ».

CUCHE Daniel
Journée d’étude à Avignon

Jean-Claude MEGE
Colloque sur St Césaire

Henri RICARD
Un temps révolu ou Frédéric Autiéro : musicien

Numéro 32

Sommaire

Henri RICARD
Frédéric Autiéro : musicien
Seconde partie de l’étude consacrée à F. AUTIERO (1887-1965). « Chef d’orchestre » de la vie musicale nyonsaise, on rencontre maître Autiéro à l’école de musique, devant l’orgue de l’église, au concert du dimanche après midi, ou avec son groupe musical : « Les Enfants du Pontias » dont la réputation n’est plus à faire.

Jeannine DÉMÉSY
Et après Philis ? Quelques notes sur la famille de la Charce et ses biens
Dans cette étude fort bien documentée, l’auteur dresse un inventaire des biens des derniers représentants régionaux de la famille La Tour du Pin-La Charce, et détaille les modalités de leur dispersion à la fin du XVIIIème siècle.

Marie-France ATGÉ
Victor Cherbuliez (1829-1899)
Genevois de naissance, Nyonsais de cœur, français de « réintégration », académicien d’élection, écrivain de toute une vie…
Outre une trentaine de romans, sous le pseudonyme de Vabert, il publia de nombreuses chroniques politiquesdans la revue des deux mondes.

Prix littéraire des Baronnies

Jean LAGET
« Nyons catholique », reflet d’un demi-siècle de vie religieuse dans notre ville
Né dans les remous de l’affaire Dreyfus et la tourmente qui devait mener à la séparation de l’Église et de l’État, “Nyons Catholique” a rythmé de 1904 à 1956 la vie de la paroisse et a servi de lien entre ses membres.

André PELOUX
Regard (critique) du curé sur les instituteurs de Venterol
Le regard critique et la plume trempée dans le vinaigre, le curé de Venterol fait part à son évêque de son sentiment quant aux instituteurs du lieu. « Cette lutte va durer un bonne partie du XIXème siècle, il faudra attendre les lois de Jules FERRY et la séparation de l’Église et de l’État en 1905 pour qu’on puisse nettement distinguer d’un coté l’instruction purement scolaire, de l’autre le sentiment religieux. »

Jeannine DÉMÉSY
Journée d’étude du 17 mai 2003 à Grenoble

Vally LAGET
Un peu de toponymie…

SEN
À propos du patrimoine